Lors des premières années de Google, l’algorithme se fiait au nombre de liens entrants. Plus ils étaient nombreux, plus les sites gagnaient en visibilité sur les moteurs de recherche.
Mais au fil du temps, l’algorithme de Google s’est amélioré et le contenu ainsi que l’expérience utilisateur sont maintenant considérés pour se placer au premier rang dans les résultats de recherche.

Cependant, il ne faut pas négliger le lien qui permet efficacement de mieux se positionner. Il suffit juste d’avoir le bon lien. Et pour cela, certains espionnaient et copiaient les autres sites déjà mieux placés sur Google ou du moins, ceux qui s’améliorent grâce à des outils comme SEObserver.

Progresser en fonction des liens des concurrents : est-ce une bonne idée ?

Le moteur de Google a frappé fort avec Google Penguin et le redoutable formulaire de dénonciation spam report. Du coup, les entreprises et webmasters avisés ont décidé de cacher leurs backlinks à ces outils mis en place par Google.

Cacher ses liens (une pratique plus connu sous le nom d’obfuscation de liens) est devenu une obsession chez certains entrepreneurs, mais c’est également devenu une stratégie pour garder jalousement le secret de la réussite avec « si peu de liens » !

Avec ces sociétés qui surveillent farouchement leurs concurrents, autant arrêter de chercher les liens dans les outils comme Majestic SEO ou AHREF.

Mais comme vous le savez, le référencement naturel requiert un travail acharné et de la persévérance si bien que masquer son travail devient indispensable pour tout référenceur pointilleux. Cependant, ce n’est pas également une raison d’abandonner les outils de monitoring SEO, car ils peuvent encore vous trouver des perles rares !

Aussi, il ne s’agit pas d’une question de confiance, ne résiliez pas vos abonnements aux outils de monitoring, car avec acharnement et détermination, vous arriverez tôt ou tard au bout de vos peines ! de toute manière, leur travail vous permettra déjà d’avoir un aperçu global du travail effectué et c’est mieux que rien.

Source : Patrice Krysztofiak